Une certaine vieilless,

Une certaine vieillesse

Vous gens âgés,
Que la vie vous as gâtés,
L’argent vous influencés,
Pour de vos enfants,les oubliés,

Vous voyez venir votre mort prochaine,
Seuls et ignoré de par votre cupidité,
Profitant d’une vie d’égoïste,
Qui de vos âges vous rend triste.

Vous avez perdu vos peu d’amis,
Vous rendant pour cela aigri,
En perdant aussi l’amour de vos enfants,
Ils vous restent à compter vos jours restant,
Dans une solitude qui vous fait peur pourtant.

Je vous plains du fond de mon cœur,
Pour cette vieillesse d’horreur,
Celle que vous avez choisie,
Celle qui n’est pas votre amie.

Vos derniers jours ne sont de fêtes,
Il suffit de voir vos têtes,
Pour comprendre que vous n’êtes content,
Que vos vies ne sont plus que tourment.

De par cette lettre,que je regrette,
Je vous le dis,je ne vivrais c’est un fait,
Que dans l’amour de tous les gens,
Entourés de mes nombreux enfants.

A l’aube de mes soixante ans,
Ma vie ne commence que pourtant,
Avec l’espoir qu’à ma mort,mes aimants,
Auront le souvenir d’un homme content..

Même riche,vous êtes pauvres.......